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 Un peu d'histoire

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Denis
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Denis

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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMar 3 Déc 2013 - 17:51

30 ans que je vais dans le Var et je n'y suis toujours pas allé hihi 
Merci JEAN MARC

_________________
Les paroles mentent, mais le mensonge est parfois la seule consolation possible.
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Denis
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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyJeu 2 Jan 2014 - 18:23

Antoine Laurent de Jussieu.
Un peu d'histoire - Page 2 220px-11

Neveu d'Antoine, de Bernard et de Joseph de Jussieu, il commence ses études à Lyon. En 1766, son oncle, Bernard, l'appelle auprès de lui à Paris, où il termine ses études de médecine. En 1773, il présente son Examen de la famille des Renoncules à l'Académie des sciences, ce qui lui vaut d'y être élu membre. En 1770, il remplace Louis-Guillaume Le Monnier au poste de démonstrateur au Jardin du roi.

Il développe les idées de son oncle Bernard de Jussieu sur la classification des végétaux suivant un système basé sur la morphologie des plantes. En 1774, il fait paraître son Exposition d'un nouvel ordre des plantes, adopté dans les démonstrations du Jardin royal dans les Mémoires de l'Académie des sciences, complétée quinze ans plus tard par son Genera plantarum secundum ordines naturales disposita. Georges Cuvier en parlera comme d'« un livre admirable, qui fait dans les sciences d'observation une époque peut-être aussi importante que la chimie de Lavoisier dans les sciences d'expérience ». La méthode employée par Antoine-Laurent dans son Genera Plantarum sera reprise en zoologie par Cuvier, et affinée puis formalisée par Augustin Pyrame de Candolle, qui la complétera en apportant de nouvelles distinctions dans la classification. Cette œuvre est à la base de toute la classification actuelle des végétaux supérieurs ; en effet, on y retrouve la majorité des genres et familles décrites par Antoine-Laurent, qui ont été postérieurement corrigées et/ou complétées, puis enfin confortées par les résultats de la phylogénie.

En 1794, il est nommé directeur du nouveau Muséum national d'histoire naturelle, et il y fonde immédiatement une bibliothèque. En 1804, il occupe la chaire de Professeur de botanique à la faculté de médecine de Paris, il y restera jusqu'en 1826. En 1829, il devient membre étranger de la Royal Society. Devenu presque aveugle, il se démet de sa chaire au Muséum au profit de son fils Adrien.
Source Wilkipédia
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Denis
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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMar 25 Fév 2014 - 19:48

Un peu d'histoire - Page 2 Images10

Charles Henri Marie Flahault
Charles Henri Marie Flahault (né à Bailleul le 3 octobre 1852 et mort à Montpellier le 3 février 1935) est un botaniste français, pionnier dans les domaines de la phytogéographie, de la phytosociologie, de l’écologie forestière et de la vulgarisation scientifique. Il est un des premiers à utiliser des concepts tels que l’association végétale, la notion de station (botanique), de relevé floristique. Il est l’auteur de nombreux travaux scientifiques majeurs, l’initiateur de la cartographe botanique et il est le premier, en France, à établir des liens forts et durables entre botanistes et forestiers. Il est en outre le fondateur de l’Institut de Botanique de Montpellier, ville où il réside de 1881 à sa mort. Il est aussi le créateur, avec Georges Fabre, de l’arboretum de l'Hort de Dieu au mont Aigoual, et l’artisan passionné du reboisement de ce massif
Charles Flahault naît le 3 octobre 1852 à Bailleul (Nord), d’un père industriel (briquetterie) et d’une mère qui lui enseigne « l’histoire et les langues classiques, aussi bien que les éléments des sciences »1. Il fait ses études secondaires chez les Jésuites d’Amiens. En 1870, il se porte volontaire pour l’armée, où on l’utilise comme agent de liaison dans l‘armée de Faidherbe, alors dans le Nord. Il obtient son baccalauréat de lettres à Douai en 1872.
La même année, il devient jardinier au Jardin des plantes de Paris et se fait remarquer par Joseph Decaisne, alors titulaire de la chaire de culture, qui lui donne des leçons particulières. Il entre à la Sorbonne le 1er avril 1874, dans le laboratoire de Philippe Van Tieghem, bailleulois comme lui et maître de conférences à l’École normale supérieure, et s’oriente alors vers la biologie végétale. Il passe et obtient son baccalauréat es-sciences à Paris en 1874, puis en 1876 la licence es-sciences naturelles et obtient le doctorat en 1878. Il devient cette même année préparateur de botanique à la faculté des sciences de Paris, puis en 1880 répétiteur à l’École pratique des hautes études.
En 1878, il est envoyé en mission en Norvège et en Suède par le ministère de l’instruction publique, avec Gaston Bonnier, puis réalise une deuxième mission en Suède et en Laponie en 1879 et une mission en Angleterre en 1880.
Il est nommé le 13 avril 1881 chargé de cours à la Faculté des Sciences de Montpellier, puis titularisé le 1er mai 1881. Il devient professeur de botanique en 1883. En 1886 il voyage et herborise en Afrique du nord (Oranie).
Il fonde l’Institut de botanique de Montpellier, inauguré le 14 avril 1890.
Il effectue diverses missions en Suède, Norvège et Danemark en 1890, en Espagne (Pyrénées) en 1893, en Belgique et Hollande en 1895, en Espagne (Pyrénées). Il est le vice-président du premier Congrès international de botanique de Paris en 1900. Suivent de nouvelles missions en Espagne (Pyrénées) en 1904, Tyrol et Bavière, puis Baléares, en 1905, Suède, Danemark et Allemagne en 1907, Corse et Ligurie en 1908, Tunisie, puis Danemark et Allemagne en 1913 et Alpes vaudoises en 1914.
En 1915, il perd sa mère, avec qui il avait correspondu toute sa vie lors de ses voyages et excursions.
Il devient membre de l’Institut en 1918. En 1919, le Gouvernement lui demande d’organiser la Faculté des sciences de Strasbourg. Il quitte l’Université en 1927. La première Guerre mondiale ne freine pas son ardeur : il travaille avec enthousiasme, menant une croisade pour reboiser les garrigues et le massif de l’Aigoual, où il fonde jardins botaniques et pépinières. Il y emmène herboriser instituteurs et étudiants jusqu’à sa mort – qui vint le cueillir selon ses vœux : « j’espère bien mourir au travail. Moyennant quoi, je demeure gai et alerte », disait-il en 1928. Il fait encore un voyage au Maroc en 1927-1928.
Il meurt à Montpellier le 3 février 1935. Il est inhumé au cimetière Saint-Lazare de Montpellier.

Charles Flahault et Montpellier
Création de l’Institut de Botanique de Montpellier, inauguré le 14 avril 1890, et qui sera visité par le président de la République, Sadi Carnot, le 24 mai suivant. Le bâtiment, devenu vétuste, fut détruit en partie en 1946 et remplacé par les locaux actuels, construits sous l’impulsion de son gendre Louis Emberger. C'est aujourd'hui une propriété de l'Université de Montpellier II et abrite encore des laboratoires de recherche dans le domaine de l'écologie et de la parasitologie, c'est également le siège du Pôle Universitaire Européen de Montpellier. Il abrite une antenne du Conservatoire de Porquerolles et un herbier important conservant les récoltes des botanistes qui s'y sont succédé. C'est aussi le siège de l'association qui gère le réseau Tela Botanica.
Source Wilkipédia
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GIR65

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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMar 25 Fév 2014 - 20:01

 
 
[size=32]Joseph Hubert.[/size]
Botaniste et naturaliste.
 
Né à Saint-Benoît le 23 avril 1747 - Décès le 19 avril 1825 à Saint-Benoît.
 
 
Joseph Hubert est né à Saint-Benoît île de La Réunion le 23 avril 1747.
Il est le fils d'Henri Hubert, capitaine commandant du quartier de Saint-Benoît, et de Magdeleine Lucas. Son père avait commandé en 1721, les premières troupes envoyées à la prise de possession de l'Ile de France ( île Maurice ). Son père influence certainement le jeune Joseph au plaisir de la botanique, en effet celui-ci avait planté dès 1732 à Saint-Benoît, le premier cannelier de Bourbon et le jeune Joseph considéra toujours ce fait comme très important.
L'enseignement à cette époque est fort peu répandu et le jeune homme ne va pas à l'école, mais il était intelligent et veut s'instruire. Il montre très jeune un goût prononcé pour les Sciences Naturelles et l'agriculture.
En 1769, Joseph Hubert fait un voyage à l'Ile de France où Pierre Poivre est alors intendant Général des îles de France et de Bourbon. Ce dernier remarqua l'intérêt du jeune homme, pour les arbres exotiques qu'il avait réunis dans le jardin des Pamplemousses. Reconnaissant un ami de la nature, il l'invite à enrichir son pays de ces végétaux, en faisant mettre à sa disposition des plants de différentes espèces et en lui enseignant les soins nécessaires pour les acclimater. Ce fut le début d'une longue amitié et c'est ainsi que s'ouvrit pour Joseph Hubert cette longue carrière d'études et de travaux.
Hubert rapporta à Bourbon les premiers plants que M. Céré, l'habile et savant directeur du jardin des pamplemouses, put alors lui délivrer.
Une première importation de giroflier et de muscadiers effectuée en 1770resta sans succès.
Un giroflier et deux muscadiers furent envoyés en juillet 1772, à Joseph Hubert, qui les éleva avec les tendres soins d'un père dans sa charmante habitation de Bras-Mussard. L'élégante disposition de cette propriété et le goût délicat avec lequel elle était entretenue attiraient l'admiration de tous. C'est là qu'il se forma pour ainsi dire une famille de tous les arbres précieux que nous lui devons ; c'est là que croissaient, dans des carrés circonscrits par des murs de verdure formés de jamalacs et jamrosas, le giroflier et le muscadier des Molusques, le cannelier de Ceylan, le ravensara de Madagascar, le letchi de Chine, le mangoustan, originaire aussi des Molusques, l'arbre à pain des philippines, l'évi ou fruit de Cythère apporté d'Otaïti par le célèbre commerson, et bien d'autres espèces utiles, toutes introduites ou naturalisées à Bourbon par Joseph Hubert.
C'est une touchante histoire, que celle du premier giroflier planté au Bras-Mussard. Ce giroflier surmonta toutes les difficultés d'une acclimatation laborieuse, et acquit un développement prodigieux ; il s'éleva à une hauteur de quarante pieds au moins et produisit dans une année jusqu'à cent ving-cinq livres de clous. Il succomba enfin, victime du furieux ouragan qui désola la colonie en 1806. Joseph Hubert :
" Jamais, disait-il, jamais douleur n'égala la mienne, quand après une lutte de plusieurs heures, je vis mes efforts opiniâtres, réunis à ceux de tous mes noirs rassemblés pour protéger ce bel arbre contre la violence des vents, céder enfin ... quand je vis tomber à mes pieds ce père de la prospérité de mon pays ".
Cet arbre eut une nombreuse postérité. Dès l'année 1786, Hubert possédait huit mille girofliers. En 1802, Bourbon récoltait deux cent mille livres de girofles.
Le premier giroflier envoyé à Joseph Hubert en 1772, était accompagné de deux muscadiers. La culture de cette épice rencontra quelques difficultés. Le muscadier ne réunit pas les deux sexes. Les mâles sont beaucoup plus nombreux que les femelles, et l(on ne peut les distinguer qu'à l'époque de la floraison. Hubert imagina de greffer les jeunes sujets de manière à transformer en femelles fécondes tous les mâles inutiles. Il fit de nombreuses expériences, qui furent couronnées d'un plein succès, et son ingénieux procédé leva heureusement les obstacles opposés par la nature elle-même à la mutiplication du muscadier. Cependant la culture de cet arbre ne fut jamais très répandue à Bourbon.
 
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En juin 1784, Il accompagne le gouverneur de Bourbon, Alexandre François Chalvet, Baron De Souville et le chevalier Jean-Baptiste Bancks, arpenteur du roi, Joseph Hubert, est en quête de terres nouvelles pour développer des arbres à épices.
Ils quittent Sainte-Benoît pour rejoindre la côte Sud, en traversant Sainte-Rose et le Brûlé, ils découvrent, à partir de la ravine Panon, Langevin et la rivière des Remparts, la richesse de cette partie de l’île. Et c’est là qu’est venue l’idée à Joseph Hubert de cultiver le girofle avant de proposer de baptiser ce quartier du Sud :“ Nouvelles Moluques ”. Ce qui entraîne un léger différend entre les deux hommes, à savoir le gouverneur et le botaniste.
Finalement, tous deux décident de baptiser ce quartier Saint-Joseph.
C'est la création le 1 er janvier 1785 du quartier de Saint-Joseph, cette création n'est pas une mesure administrative anodine. C'est un véritable projet politique visant à soulager le paupérisme dramatique qui frappe la population blanche. Un phénomène qui, par son ampleur et son intensité est unique dans l'histoire coloniale. Insérer des Blancs pauvres, coloniser des terres vierges, encourager de nouvelles cultures, diversifier l'économie et contribuer au développement de Bourbon, telles sont les ambitions de ce projet.
Quelques familles pauvres sont autorisées à s'y installer sous la réserve expresse, " d'y établir domicile avant le 1er novembre de l'année en cours ( 1785 ) époque à laquelle leur seront délivrés des permis en forme ".
En 1785 il est nommé commandant du quartier de Saint-Joseph, commune qu’il a fondée.
En 1788, il expose une conception toute nouvelle sur les cyclones en parlant d'un mouvement de rotation et de translation simultanées qui sera confirmée 15 ans plus tard par le météorologiste allemand Dove.
1789, Joseph Hubert introduit à La Réunion l'avocatier, Persea americana Miller.
Le nom de Joseph Hubert est inscrit dans les fastes de la Science, les botanistes distinguent sous le nom d'Hubertia, une plante connue sous le nom d'ambavilles.
Tout ce qui touche son pays préoccupe Joseph Hubert, il étudie la maladie du, Bois noir, et la mouche à café, il traite l'huile essentielle du Bois de joli cœur, il prépare du chocolat de santé, et rédige des notes sur les animaux nuisibles, les abeilles ou le miel vert, il s'alarme devant le déboisement inconsidéré des pentes et sommets de l'île, et s'inquiète de la rareté des cultures vivrières.
Joseph Hubert membre correspondant de l'Académie des Sciences, de la Société royale d'Agriculture de Paris et de la Société et Arts de l'île de France, justifiait ces titres par des connaissances sérieuses dans les diverses branches de la physique et de l'histoire naturelle. Il se livra à des études approfondies sur les productions volcaniques qui jouent un rôle important dans la constitution géologique de l'île de La Réunion.
Bory de Saint-Vincent trouvera auprès de lui, de nombreux renseignements sur l'île et sur le Volcan. La rencontre entre les deux hommes se fait en 1801, lors du voyage de Bory de Saint-Vincent à La Réunion, Joseph Hubert qui a fait l'une des premières excursions au Piton de la Fournaise en compagnie de Commerson en 1771, fourni à Bory de précieux renseignements. En début d'année 1802 le volcan, le piton de la fournaise entre en éruption, une lettre de M. Hubert envoyée à Bory de Saint-Vincent donne les informations sur cette éruption. " Le volcan a fait ces jours derniers une éruption ; la lave qui en est provenue est arrivée à la mer. J’ai été sur les lieux, je vous envoie la relation de ce voyage et de mes remarques. " Lire la lettre.
La renommée de Joseph Hubert avait franchi les mers. Louis XVIII ne crut pas l'avoir assez récompensé par l'envoi qu'il lui avait fait en1818 des lettres de chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis. En 1821, il accorda dix médailles d'or aux cultivateurs qui, dans toute l'étendue de son royaume, avaient rendu les plus éminents services à l'agriculture. Joseph Hubert fut du petit nombre de ceux qui attirèrent les regards du souverain,et, le 26 juin 1821, le Boudoir ( propriété de M. Hubert ) fut le théâtre d'une imposante cérémonie. M. de Freycinet, commandant et administrateur pour le Roi se rendit chez joseph Hubert et lui remit solennellement la médaille qui lui avait était décernée.
Joseph Hubert termina sa longue et utile carrière le 19 avril 1825. Sa tombe se trouve dans le cimetière de Saint-Benoit.


Source Wilkipédia (Facile....)

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Denis
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Denis

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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMer 26 Fév 2014 - 16:35

Oui facile, il faut juste avoir envie de le faire, en aucun cas je ne prétends vouloir refaire la bibliographie des grands botanistes, juste de partager avec les membres ce que je trouve.
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Allegria
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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMer 26 Fév 2014 - 17:02

Décidément ..... On chipote
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Denis
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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMer 26 Fév 2014 - 17:04

un peu oui je trouve  hihi 
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Allegria
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MessageSujet: Re: Un peu d'histoire   Un peu d'histoire - Page 2 EmptyMer 26 Fév 2014 - 17:07

Peut être les uns et les autres préfère un texte pris sur un livre de botanique quelle différence avec le net on a l avantage du copier coller  mdrr 
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